De la persistance des obsessions. Le métro, dans tous ses détails. Le volume qui devient surface, la photographie, peinture - d'autres volumes, épaisseurs.
Des corps dansants, heureux ou fatigués, des gribouillis dans les marges des cahiers, sur des bouts de journaux, des photos, dessins au bic, crayon, encre ou brou de noix... Un peu de texte aussi : je vous le mets quand même ?