"En attendant je prolonge ma morosité comme un enfant gratte la plaie qui le titille au lieu de se lever, de faire son lit et de partir rejoindre ses copains pour aller jeter des marrons sur les filles..."
François Matton, dont on peut voir les très beaux dessins ici.
Des corps dansants, heureux ou fatigués, des gribouillis dans les marges des cahiers, sur des bouts de journaux, des photos, dessins au bic, crayon, encre ou brou de noix... Un peu de texte aussi : je vous le mets quand même ?